לאָודער בילד
פּלאַץ אָוווערליי

Explications sur l’autisme

Toute utilisation ou reproduction des explications de cette page (qui date de février 2018)
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Explications sur l’autisme selon l’Organisation Diplomatique de l’Autistan

Vous voulez comprendre l’autisme, mais tout ce que vous avez lu ou entendu jusqu’à maintenant vous semble peu clair, contradictoire, et insatisfaisant.

Nous pensons que la plupart des personnes qui vont lire nos explications sur l’autisme dans cette page auront le sentiment de comprendre enfin véritablement les principes essentiels de l’autisme, et de mieux savoircomment penserpour avoir des idées réalistes et claires sur l’autisme, ce qui est indispensable pour mieux savoir comment faire avec les autistes.

*E0* Réflexions préalables et nécessaires

  • Presque toutes les tentatives pourexpliquer l’autismesont erronées, parce qu’elles ne comprennent pas la nature profonde de l’autisme.
  • Ceci est dû au fait que ces tentatives reposent sur unréférentiel non-autistiquequi est perçu commejusteetvalide”.
  • Le meilleur moyen de comprendre et d’expliquer l’autisme, c’est d’utiliser un mode de pensée autistique, sans être influencé par les théories et les formatages non-autistiques.
  • Les personnes non-autistes perçoivent déjà le caractère absurde et dangereux du système social global actuel, mais elles ne peuvent passortir de leurs boîtes”, de leurs conventions et habitudes de pensée, et elles sont prisonnières d’une illusion plus forte qu’elles-mêmes.
    Elles en perçoivent parfois le caractère illusoire, mais elles ne peuvent rien y faire, car elles sont entraînées dans une sorte de tourbillon social, et depensées obligatoires” (comme par exemple l’idée qu’il estobligatoirede communiquer et d’être bien adapté socialement, et que dans le cas contraire, on a forcément un problème psychologique, ce qui est une idée absurde, quand on y réfléchit quelques instants).
  • La sensationd’erreur générale officiellement validegénère un mal-être et unepsychose socialegénérale, qui entraîne la peur de tout, la peur de l’inconnu, le rejet automatique des personnesdifférentes”, le repli dans l’individualisme, l’égoïsme, le matérialisme, le confort, la jouissance des plaisirs matériels et des illusions, ce qui entraîne des exigences de productivité, de rentabilité, et des standards desécuritéde plus en plus élevés, qui guident les politiques publiques, d’une manière qui défavorise les minorités naturelles (comme les autistes), et qui, finalement, leur rend la vie de plus en plus impossible.
  • Si on réfléchit d’une manièreautistique”, honnêtement, sans tenir compte des croyances et conventionssociales”, on comprend très vite que le système social non-autistique et lesmodes de pensée socialement acceptablessont erronées et en conflit avec les lois naturelles de la vie.
  • On comprend aussi que les caractéristiques et qualités autistiques sont tout à fait valides et intéressantes, mais qu’elles sont en conflit avec le système social, qui est lui-même en conflit avec la Nature et avecce qu’il faudrait faire”.
  • Si, et seulement si, on commence en partant du principe que les modes de pensée et de fonctionnementnormaux”, “socialement acceptables”, sont très discutables, et souvent très problématiques, alors, seulement, on peut commencer à être dans un état d’espritcompatibleavec l’autisme, et on peut commencer à comprendre.
  • וועגן דעם, il faut oublier toutes les idées reçues, il faut sortir desformatages sociaux” (ce qui est particulièrement facile pour un autiste).
  • Si vous acceptez d’essayer de penser de cette manière, de manièrelogique et honnête”, et de reconnaître les défauts et les absurdités dusystème non-autistique”, alors vous lirez avec intérêt nos explications générales sur l’autisme, dans les points suivants.
  • Cette page d’explications de l’autisme par des autistes, “à la source”, est un exemple de réalisation concrète correspondant aubut” -G0500- (“Expliquer l’autisme”) de notre organisation.
    Les informations présentées sur cette page sont très basiques, et elles peuvent être développées par le moyen d’échanges divers, de communications et de rencontres.

*E1* L’autisme

  • L’autisme n’est ni une maladie, ni un ensemble detroubles”.
  • L’autisme est une particularité humaine naturelle, caractérisée notamment par l’authenticité, la vérité, la pureté, la cohérence, l’harmonie, la rectitude, et la résistance aux altérations de ces caractéristiques.
  • Les autistes possèdent des qualités qui sont propres à l’autisme (et qui ne sont pas desqualités sociales”).
  • L’autisme lui-même est une qualité, puisqu’il ressemble à une forme d’auto-protection et de défense naturelle de l’humain contre les atteintes, les dégradations, les dénaturations et les dangers résultant de la plupart des constructions sociales artificielles (comme les codes sociaux, conventions, systèmes de pensée, réalisations matérielles…) qui méprisent les qualités originelles de l’être humain, qui sont préservées chez les autistes.

*E2* Lestroubles autistiques

  • Les autistes ne ressentent pas le besoin ni l’obligation de communiquer ou d’être adaptés à un fonctionnement social général qu’ils perçoivent, instinctivement, comme incohérent et nocif.
  • Les personnes non-autistes croient que cette adaptation est indispensable, et qu’elle est la preuve d’une bonne santé mentale.
  • Ces personnes croient donc que l’inadaptation autistique est forcément le signe d’une déficience mentale.
  • Ce qui est appeléintérêts restreintscorrespond aux capacités de focalisation et de richesse de la pensée des autistes, et cela est utile pour leurchemin de vie particulier”, auquel ils ont droit. Mais comme ces intérêts et passions sont trop inhabituels pour les personnes non-autistes, et qu’elles ne sont pas capables d’en faire autant, alors elles croient que cette particularité est unproblème”.
  • D’une manière générale, le mode de pensée des personnes non-autistes fait qu’elles croient que tout ce qui n’est pashabituel”, standard, “normal”, par rapport à leur groupe social, est quelque chose demauvaiset signe d’un problème psychique personnel. C’est ce qui explique pourquoi les personnes non-autistes font, automatiquement, tous les efforts possibles pour être ou paraître adaptées etnormales” (puisque, contrairement aux autistes, elles se jugent par rapport au regard des autres, qui les condamnera si elles paraissentbizarres”).
  • Certainstroubles autistiquessont destroublesuniquement du point de vue des personnes non-autistes, mais pas du point de vue des autistes.
    Pour nous, ce ne sont donc pas destroubles”, mais des caractéristiques autistiques qui doivent être respectées au lieu d’être découragées ou moquées.
  • Certainstroubles autistiquesentraînent de vraies difficultés rendant la vie très compliquée, dans le système social actuel (dirigé par les normes, les interactions sociales constantes, complexes et subtiles, etc.).
    Ces difficultés justifient desapprentissages”, de la part de la personne autiste, pour savoir commentsurvivredans cesystème social artificiel”, totalement inhospitalier pour unêtre naturel”.
  • Les souffrances ne viennent pas de l’autisme, ni destroubles autistiques”, mais des réactions d’incompréhension et de rejet, de la part des des personnes non-autistes, incapables d’accepter les personnesnon-formatées”.
  • Les souffrances peuvent venir aussi des pensées et conceptions non-autistiques erronées, qui, souvent, ont pour effet de culpabiliser et d’inférioriser les autistes, ce qui entraîne parfois uneobsession” (exagérée et superflue) pour être adapté ou pour paraître adapté.
  • Quand un autiste renie ou cache ses caractéristiques autistiques, cela peut provoquer unhandicap invisiblequi empêche les personnes non-autistes de faire des efforts d’adaptation. Ceci enferme l’autiste dans une sorte deprison du rôle de non-autiste” (obligation de jouer un rôle de non-autiste), ce qui peut entraîner des conflits psychologiques intérieurs pouvant mener au suicide, surtout quand la personne autiste croitque le système a raison”.
  • Certains autistes présentent destroublestypiquementnon-autistiques”, qui résultent en réalité de mauvaises adaptations au ‘non-autisme”, réalisées de manière autistique (souvent avec excès), sans vraiment pouvoir comprendre lesjustificationsde ces adaptations (puisque, de toute façon, pour le mode de pensée autistique, elles ne peuvent pas être justifiées).

*E3* Lescomorbidités

  • Le termecomorbiditésdésigne les maladies et problèmes de santé qui sont notablement présents dans la population autiste.
  • Ces problèmes existent également chez les personnes qui ne sont pas autistes.
  • Ces problèmes ne sont donc pas propres à l’autisme, et ne font pas partie de l’autisme.
  • Même si on pouvait montrer que certains de ces problèmes pourraient résulter de l’autisme ce ne serait pas une raison suffisante pour vouloirsupprimer l’autisme”.
  • Il serait certainement utile de trouver des solutions pour ces problèmes, d’une manière générale et sans nuire à l’autisme.

*E4* Le handicap

  • Si on utilise le mothandicapdans le sens habituel dedéficience”, “défaut”, “manque”, “imperfectioninhérente à la personne, l’autisme n’est pas unhandicapcar il n’y a rien qui prouve que l’autisme (tel que nous le définissons plus haut dans le point 1) comporterait undéfaut ou une erreur intrinsèque”, bien au contraire.
  • Nous utilisons le mothandicapdans le sens général dedésavantageouobstacle”, et non pas dans le sens dedéficience”, “défaut””, “invalidité”, ni avec un autre point de vue considérant que les personnesnormalessont forcémentsupérieures”.
  • L’autisme lui-même n’est pas un handicap, quelles que soient les manières dont on définit la notion dehandicap” (comme ci-dessus), maisl’absence de considération correcte de l’autisme par le système social” (y-compris par la famille) entraîne forcément de nombreuses difficultés pour les autistes, qui les empêchent d’accéder aux niveaux de qualité de vie et de liberté dont jouissent les personnes non-autistes (dont le système social définit et impose des règles qui favorisent la majorité et négligent les minorités).
  • Cetteabsence de considération correcte de l’autisme”, lorsqu’elle rencontre une personne autiste, provoque des situations difficiles, pénibles, hostiles, qui désavantagent, excluent et pénalisent l’autiste : on peut donc dire alors que celle-ci esthandicapée socialementpar lesdéficiencesdu système général.
  • Aucun handicap ne devrait entraîner un sentiment de honte ou d’infériorité.
    Dans le cas de l’autisme (dont l’absence de considération correcte entraîne un handicap social), les autistes devraient logiquement être contents d’êtrehandicapés par rapport à un système social qui est lui-même défectueux, absurde et en conflit évident avec les lois de la Nature”.
  • Autrement dit, il n’y a rien de mal à être inadapté à une société elle-même inadaptée à la vie (la vie telle qu’elle devrait être, sans artifices et illusions toxiques).
    Ceci correspond à la phrase du philosophe Jiddu Krishnamurti : Ce n’est pas un signe de (bonne) santé, que d’être (bien) adapté à une société profondément malade.
  • Il est très important de bien comprendre tout cela, pour arrêter de considérer l’autisme de manière négative et fausse, et pour diminuer ou supprimer certaines souffrances psychiques (sentiment d’infériorité etd’avoirou êtreun problème”) de ceux des autistes qui découvrent l’autisme au travers du prisme erroné de la vision non-autistique habituelle (et officielle) פון אָטיזאַם.
  • Le fait de comprendre ces choses aide beaucoup pour atteindre le but -G0300- de notre Organisation (“Dignité pour les autistes”), et bien sûr cela aide également pour certains de nos autres buts, par exemple en amenant nos interlocuteurs à un état de pensée permettant de comprendre l’autisme correctement, et, donc, de prendre des décisions plus adaptées, justes, et non-défavorables pour les autistes.
  • Bien sûr que nous avons des problèmes, mais ces problèmes ne sont pas desdéficiences à cause de l’autisme”, mais desdifficultés à cause du non-autisme”.
  • Lorsque nous commençons à comprendre que, même si nous avons unproblèmeavec le système social, nous n’avons pas de problème avec leréférentiel naturel”, et que le système social a un vrai problème énorme et grave d’inadaptation à la Nature, alors nous pouvons commencer à voir la vie de manière positive, et nous pouvons commencer à décider de notre vie, en étant moins influencés, trompés et victimes des illusions et desTroubles Non-Autistiques”.

*E5* LesTroubles Non-Autistiques” (ouTroubles du Non-Autisme”)

Important : Le fait d’être unepersonne non-autisten’implique pas nécessairement d’êtreatteint par les Troubles Non-Autistiques (et heureusement).
Mais ces défauts existent bien, etpar définitionils ne sont pas présents chez les autistes (“non-socialisés”), d’où leur appellationTroubles Non-Autistiques” (ouTroubles du Non-Autisme”).

  • Le concept deTroubles Non-Autistiques”, inventé par Eric L., a été exposé publiquement par celui-ci, pour la première fois, אין אַלמאַטי (קז) די 12 février 2016.
    (Ce concept est assez proche du concept desyndrome neurotypique”, mais il est plus précis.)
  • Ce concept présente une terminologie volontairement provocatrice, qui a pour but d’inciter les personnes non-autistes à réfléchir aux défauts des systèmes et conventions qu’elles considèrent commevalidesetjustes”.
  • Mais il ne s’agit pas seulement de provocation et de recherche de rétablissement d’une certaine justice.
    טאקע, quand on commence à étudier lesTroubles Non-Autistiques”, on est véritablement effaré par leur quantité et leur gravité.
    En comparaison, les trois ou quatre petitstroublesdes autistes, paraissent relativement insignifiants.
  • Cette gravité est l’une des raisons qui empêchent les personnes non-autistes de réfléchir honnêtement et courageusement aux déficiences de leurssystèmes”. Cela peut donner le vertige, et entraîner une sorte de blocage de la pensée.
  • Il existe une autre chose importante qui empêche la plupart des personnes non-autistes de réfléchir à tout cela : c’est leurabsence d’autisme”. טאקע, leurs pensées dont très influencées et dépendantes des systèmes et des conventions sociales dans lesquelles elles vivent, et donc elles peuvent difficilement s’en extraire pour voir les choses avec la distance nécessaire.
  • Voir tout cela avec distance ne requiert aucun effort pour un autiste. Au contraire, cela fait partie de notre nature et de nos qualités, et nous sommes obligés en permanence de constater les aberrations internes propres aux multitudes desystèmes sociaux”, qui sont tous en conflits entre eux (forcément, puisque chaque système s’éloigne de la vérité et de la réalité naturelle).
    (Les contrariétés et frustrations que nous ressentons en constatant tout cela, sont des exemples de souffrances qui ne viennent pas de l’autisme en tant que chose négative, comme expliqué plus haut).
  • Il serait très long et fastidieux d’exposer ici la liste desTroubles Non-Autistiques”, et les explications montrant à quel point ceux-ci sont la cause des souffrances des autistes.
  • On peut toutefois mentionner quelques catégories importantes :
    • Les Troubles Non-Autistiques de la Communication
    • Les Troubles Non-Autistiques de la Socialisation
    • Les Troubles Non-Autistiques des Intérêts Limités
    • Le Trouble Non-Autistique de l’Incompréhension de l’Autisme

*E6* Naturalité, cohérence, sensibilité, et atteintes

  • Lesatteintespeuvent être appeléesagressions neurologiquespuisque tout est véhiculé par le système neurologique de perception, et traité par le cerveau.
  • On peut faire une distinction entre les agressions neurologiques “סענסערי” (ouexternes”), et les agressions neurologiquesmentales” (ouinternes”).
  • Les atteintes peuvent être sensorielles ; ce sont des signaux avertissant la personne que quelque chose est incohérent, problématique ou dangereux dans l’environnement physique. Ce n’est pas une question degrande sensibilité aux sons, aux lumières, aux odeurs, ou toucher”. C’est une question de grande sensibilité aux incohérences (qui, ici, sont perçues au niveau sensoriel).
  • Les atteintes peuvent être sensorielles et mentales. La perturbation sensorielle entraîne une perturbation mentale, généralement liée à la conscience (plus ou moins précise) de l’incohérence, de l’injustice, de la fausseté, du fait que quelque chose n’est pas correct (ce qui est doncautomatiquement rejetépar la pensée autistique”).
  • Les atteintes peuvent êtrementales” : la personne autiste va penser à une aberration qu’elle perçoit, et ceci va provoquer une perturbation de son sens de la cohérence et de l’harmonie (ce que l’on peut souvent appelerjustice”) ; ensuite, très rapidement, la rectitude et la pureté de son système de pensée va établir de nombreuses connexions mentales correspondant à tous les rapports qu’elle voit avec le problème constaté (ces connexions peuvent aller beaucoup plus loin que chez les personnes non-autistes, dont la pensée se limite à choisir parmi quelques chemins pré-établis, avec dessolutions toutes prêtes”, rapides et rassurantes, socialement décidées et validées, pour chaque sujet connu).
  • Si la personne autiste focalise sa pensée sur une perturbation (et sur l’incohérence et l’injustice de la situation), alors il peut se produire une sorte deréaction en chaîneou derésonance”, comme une cloche métallique. Chez une personne non-autiste, le problème sera vite dissipé et oublié, comme si on frappe sur une cloche en plastique.
  • Si la personne autiste essaie de s’exprimer pour demander la diminution ou la cessation des perturbations (qui sont presque toujours imposées par l’environnement social), elle ne sera pas comprise, ou on ne la croira pas.
  • Alors, l’ensemble des souffrances (sensorielles et mentales), aggravé par la frustration de l’impossibilité de se faire comprendre, et d’être cru(e), et par le sentiment d’injustice et d’incohérence sociale, tout cela va finalement conduire à unecrise autistiqueque personne ne va comprendre (sauf les personnes qui ont luet qui ont comprisles explications de cette page).
  • En vieillissant, la personne va vivre de plus en plus d’expériences douloureuses similaires, qui n’obtiendront jamais de solutions (puisque les personnes non-autistes ne peuvent pas et/ou ne veulent pas faire d’efforts pour comprendre et pour s’adapter suffisamment).
  • Et donc, à chaque nouvelle atteinte, la pensée de la personne va faire des connexions avec toutes les autres atteintes antérieures de type similaire, et aussi avec la pensée qu’il n’y a jamais de solutions ni d’efforts de la part des autres, et tout ceci va finir par provoquer des situations de souffrance et de désespoir, et souvent, des crises, de plus en plus sévères, qui peuvent parfois se terminer par le suicide.
  • C’est aussi pour éviter de tomber dans tout cetengrenageque beaucoup d’autistes ressentent, instinctivement, qu’il ne faut surtout pas y commencer se rapprocher de tout cela.
  • Ceci est l’une des raisons pour lesquelles beaucoup d’autistes restentdans leur monde”, même si la plupart d’entre eux ne peuvent pas expliquer ces choses, puisque tous cesraisonnements sociauxn’ont pas de sens, de valeur, et n’existent pas pour eux.

Les chapitres suivants, très importants également, ne sont pas développés pour l’instant sur cette page.
Les autorités gouvernementales et les organisations nationales qui désirent en savoir plus peuvent nous contacter.

*E7* Les adaptations réciproques

*E8* Les apprentissages respectant l’autisme

*E9* Liberté d’une expérience de vie unique et originale

*E10* Protection respectueuse, encouragement et aide

*E11* Naturalité authentique contre artificialité sociale

*E12* La nécessité des autistes et de la biodiversité humaine

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